Ces derniers jours ,les familles jdidies assistent quotidiennement a des scènes d’agressions, menées par des jeunes armés de sabres et qui guettent le passage de quelques femmes ou jeunes filles dans les coins les plus obscurs de la ville, prés des arrêts de bus ou encore sur les grands artères ou il y a peu de monde.
Certains encore, se faufilent dans les recoins des marchés de la ville où abondent passants et clients qui viennent s’y approvisionner. Ces agressions peuvent etre parfois sanglantes surtout si la victime résiste aux caprices de l’agresseur.
Le paradoxe en est que ces jeunes commettent leurs actes au vu et su de tout le monde, Les concernés se voient dans l’incapacité de les poursuivre dans des ruelles aussi étroites. Et même si les agresseurs sont détenus, ce n’est que pour peu temps et ils seront vite relachés voire livrés de nouveau a leurs manoeuvres malsaines et méprisables par la société, et si heureusement, ils sont condamnés par la loi, ce n’est que dans les meilleurs conditions qu ils séjourneront en prison: on se régale du bon confort et de la nourriture. n’est ce pas ce dont ils rêvaient depuis.
Est ce vraiment, au nom des DROITS DE l’HOMME, longtemps controversés que le chatiment n’est plus mis en vigueur ?
Keraoui El Mostafa
Eljadida.com
