De l’impression genérale, Il va sans dire que la décision de dissolution de la structure embryonnaire du GUS et l’intégration des éléments le formant au sein des services classiques de sécurité dépendant de la DGSN a travers les différentes villes du Royaume, a été prise a point nommé, soulageant la large couche de la population.
Il faut dire que cette initiative d’annulation de cette entité sécuritaire, a certainement été prise a la suite d’une étude serieuse et approfondie du contexte social national qui s’est avéré refutant le modus opérandi de certains fonctionnaires du Groupe Urbain de Sécurité. Une décision pareille n’aurait jamais été prise sans fondement, sachant quela création de ce Groupe de Sécurité a nécéssité le déblocage d’une enveloppe budgétaire substantielle.
Néamoins, d’aucuns ressentent une certaine nostalgie vis a vis de l’action certes efficiente de certains éléments du GUS qui n’ont ménagé aucun effort pour preserver l’image de marque de la S»reté Nationale, et ce, de par leurs capacités tant morales que professionnelles.
Sincèrement et a titre d’exemple, leur présence imposante a chaque heure d’entrée et sortie devant les différents établissements scolaires et universitaires dans la ville d’El Jadida, ne manquait pas de soulager plus d’un parent.
Mais l’exception ne faisant pas la règle, la défaillance de ce système qui donnait l’impression d’être anachronique et inadaptable a notre milieu, était notamment d»e aux problèmes de formation entreprise de manière trés hative. Une partie des dépenses engagées dans le potentiel de l’équipement aurait d»e être allouée au volet formation (éléments-cadres) a durée relativement longue.
Ceci dit, l’idée de la création de cette structure paraissait au départ très bonne et en parfaite adéquation avec la conjoncture du moment. Mais avec le temps cette optique accentuée par les exactions, s’est discipée comme un éclat de verre…
