L ECHARPE DES MOTS…
Je porte la blessure béante D un certain moi intérieur Comme un parchemin hiéroglyphique Des anciennes civilisations englouties La lecture par le biais de mon corps Est une transparence virtuelle Une vitre qui laisse deviner Les pourtours d’un vase en kaléidoscope Je ne fais plus appel… L’avocat du diable est mort Electrocuté par une décharge … Lire la suite