De l’aurore au crépuscule Ma vie de tellurien est surchargée d’examens ! Ma vie de marin est débordée d’embruns ! De privations tenaces je suis malade : De leurs effets coriaces je sens du fade ! Au fil du temps, mon âme a pâti de douleurs Et ma carcasse a perdu de ses couleurs ! … Lire la suite
Il court sur le sable mouillé a perdre haleine Traînant derrière lui un cerf-volant virevoltant, Refusant de prendre l’air malgré toute la peine Que l’enfant se donne et son effort éreintant. Il va et vient dans une course interminable Fulminant, rageant et, par mille mots bredouillés, Attaque l’objet rebelle, le jette sur le sable Puis … Lire la suite
Le soleil se lève c’est évident Le chômeur est toujours sur le banc c’est évident A huit heure du matin Des cris enfantins Le va et vient Le magnifique soleil du pringtemps… Et c’est évident… Les cris des enfants; Le va et vient des gens; Le soleil épatant… Mais… il n’est peut être pas évident … Lire la suite
Que de vérités sont dures a avaler ! Dans une piaule pour migrateur exilé, Un espace tout juste bon pour deux balais Où les lucarnes sont d’un temps décalé, A-t-on le cœur, l’esprit pour souffler mot qui plaît ? Que de vérités sont dures a avaler ! Dans ce triste logis, cagibi sans volets, Même … Lire la suite
Voici venir les beaux jours, en bouquets fleuris, Dont la nature éclot. La vie dans les halliers s’anime. De petits cris s’entendent dans les clos. c’est, l’invite aux sorties dans la douceur des jours Et les senteurs des nuits, Le souffle du zéphyr chantant avec amour La nature épanouie, Le beau vert dominant, qui partout … Lire la suite
La vie au travail est dure ! Mais tout le plaisir Est dans ce muguet de mai qui veut tout dire ! La vie aux champs est plate a en dormir ! Ah ! Si on peut la dessaisir De sa dormance pour qu elle puisse fleurir ! La vie est courte ! Ah ! … Lire la suite
Le monde est une fleur au pollen de cristal, Je ne vis dans ce monde que pour voir ses pétales. Hier, j étais si triste, ce matin, plein d’ardeur, J ai retrouvé l’espoir en ce monde en fleurs. Rose, où tu fleuris, et la où tu te poses, Embellis notre vie pour qu on la … Lire la suite
A LA MEMOIRE DE MON CHER ONCLE SI ABDELKEBIR KHATIBI DIFFERENCE DES HEURES, DES MOIS, DES ANNEES PASSENT COMME UN CLIN d’OEIL AVEC OU SANS TRACES LA TRISTESSE NE PEUT JAMAIS DETRUIRE l’ANGOISSE COMME LA PAROLE NE REMPLACE GUERE LE SILENCE QUI DIT SILENCE DIT LANGUE ANGELIQUE TANTOT SPIRITUELLE TANTOT POETIQUE LA LUMIERE EST PARFOIS … Lire la suite
C était le 16 mai 200 quand des terroristes sans foi ni loi nous privèrent a jamais de toi et, depuis, je reste sans voix a vouloir comprendre pourquoi il fallait que ce soir tu te trouves la a la merci de ces monstre la toi, si bon, si vivant, si généreux toi qui rendais … Lire la suite
Un scorpion hésitait au bord d’une rivière Car il était curieux de la rive au-dela. Une grenouille verte qui passait par la Fut aussitôt l’objet d’une ardente prière. Passe-moi, je te prie, sur la rive opposée Et je n’userai pas de mon bel aiguillon: Je veux pouvoir scruter de nouveaux horizons La profondeur de l’eau … Lire la suite