Hier l’on parlait des objectifs pédagogiques, globaux, intermédiaires et spécifiques, d’enseignement et de formation. Aujourd hui l’on a tendance a changer le vocable. l’on parle de la compétence, de la cible et encore…
Quelle distinction pouvons nous faire entre l’un et l’autre des vocabulaires utilisés dans les domaines de la construction des savoirs et des compétences chez les jeunes ?
Le résultat est en définitif le même, mais le changement relève en fait des mentalités et des façons de voir les choses qui ont changé ; et cela grâce au développement qu ont connu les modes de vie et des cultures des citoyens au niveau mondial. Cette influence capitale fait appel a une adaptation des procédures d’enseignement, d’apprentissage et de formation qui doivent aller avec cette vague, qu imposent les technologies qui ont accéléré la mouvance de l’économie mondiale. d’où d’ailleurs cette problématique de la globalisation et de la mondialisation économique et l’afflux de libre échange.
De ce fait, les modes de formation doit s’adapter a ces invasions des techniques et des savoirs très changeant pour que les jeunes ne soient pas frustrés et pour qu ils puissent suivre le courant.
c’est la d’ailleurs l’esprit de la cible et de la compétence qui remonte a la surface, aujourd hui. Ce qui implique également qu une marge de liberté, si ce n’est toute la liberté, doit être laissée aux apprenants et a leurs formateurs pour définir leurs cibles et les manières dont ils les atteindront. c’est cette autonomie qui développera la personnalité et permettra la créativité chez les individus.
Les cibles que se fixe une institution est basée sur des plan pédagogiques bien précis, conduisant a des finalités qui lui sont tout a fait propres, selon ses prévisions et ses contrat programmes avec les employeurs, car elle doit en avoir pour être jugée comme opérationnelle et formant pour l’employabilité. Ce contrat programme doit tenir compte des accords initiaux fixés.
Dans les établissements publics, les cibles ont définies, arbitrairement par les ministères, souvent loin de professionnels, c’est qui donne place a cette fameuse inadéquation formation emplois.
Ces pratiques doivent disparaître pour donner lieu aux travaux concertés, permettant a tous les acteurs et a tous les partenaires de donner leurs points de vues et en définitive apporter des ajustements acceptés par les attentes des marchés de travail, local, national et international.
Toute cible définie de manière isolée est vouée a l’échec, car considérée comme non valide. Et seule la profession peut aujourd hui juger la validités des formations. Car condamnés a rentabiliser les capitaux investis, vis-a-vis de la concurrence, les promoteurs doivent faire appel a des collaborateurs efficaces a même de répondre a ces besoins. c’est d’ailleurs la toute la problématique de la formation, c’est qu elle doit concertée de manière continue et sans relâche avec tous les partenaires et opérateurs économiques.
Dans la réalité, les entreprises gagnantes sont celles qui créent des atmosphères agréables au sein de leur staff. Ceux qui motivent leurs collaborateurs et essayent de les impliquer dans la planification et dans la prise de décisions s’inquiétant également de la formation continue et au même temps de celle des futurs lauréats, d’où leur intéressement a la définitions des cibles et des modules de répondant a leurs attentes.
c’est enfin ce qui laisse l’opportunité de pouvoir détecter ce qui est nécessaire et ce qui manque pour mieux former, afin de prévenir le chômage des jeunes et donc de leur assurer une éducation pour le bonheur et pour avenir heureux.
Le meilleur moyen d’éduquer au bonheur est certainement de multiplier les centres intérêts de l’individu dès le plus jeune âge : plus il y a d’intérêts divers et variés, plus on évite de tomber dans le désœuvrement, le mal-être et la déprime. On est dans l’action, on partage des activités avec d’autres et l’on avance dans ses projets.
L’éducation devient alors un environnement centré sur l’étudiant et l’apprentissage collaboratif. l’intégration du réseautage social a l’école favorise la participation. Les professeurs disent merci pour cet ajout et les élèves en redemandent.
L’éducation au bonheur, a la solidarité, aux valeurs sociales, aux compétences, a des effets positifs et solides sur la construction de l’identité de chacun. l’école fait bien d’exploiter les outils de communication pour donner l’occasion d’élargir l’ouverture des esprits et l’enrichissement mutuel et donner moyen de s’approcher au plus près …du bonheur. (1)
Salah chakor