Ciel,
toi qui change a chaque fois le visage ,
timide, severe, heureux,melheureux,
est ce ainsi que tu epouse le soleil ?
je comprends alors que t es amoureux.
ciel,
vois tu les pauvres pommes de terres ?
celles qui viennent de naitre,
aussi, sans pere ?
vois tu comme elles sont toujours vierges ?
consolées avec leurs belles robes eclatantes ?
ruisselantes, sur les petites pieres?
est ce a ce point que t es nonchalant ?
mon cher ?
est elle la drague de l’amour .
qui fait couler dasn tes veines
du sang ardent ?
t es beaux etant amoureux,
mais agreable d’etant genereux,
ciel …
soumaya