Chaque fois en passant du côté de la plage dans le but de jeter un regard sur le beau paysage ; contempler l’immensité de l’océan : écouter la symphonie de ses vagues et les cris des mouettes dont la blancheur se mêlait avec l’écume sur un sable fin qui donne l’envi d’humecter les pieds au bord.
D ailleurs, une prise de vue sur le jardin a côté attire l’attention ; des belles fleurs au milieu du gazon plus au moins entretenu, et surtout des palmiers de différentes tailles.
Des palmiers qui avaient de la peine a subsister. La plupart de ces arbres sont péris.
Reste a savoir la cause du mal de ces beaux arbres. Tout ça apparaît normal, car toutes les plantes vont périr d’un jour a l’autre.
Depuis deux années passées ces arbres ont été plantés au bord de la plage pour donner a l’avenue du côté une vue panoramique puisque l’aménagement de la ville oblige.
Du côté de la plage et après avoir rasé plusieurs cafés, un jardin de belles fleurs du gazon et surtout des palmiers de longues tailles.
Ces palmiers avec ses dizaines et vingtaines de mètres sont transplantés avec des grues après les avoir transporter de loin sur des camions remorques. Un exploit sans doute si ces arbres avaient tenu le choc, ou un record sur les registres de Guinness si ces arbres conservaient encore leurs beauté.
Des troncs de paliers morts en face de la mer exposé au public, au milieu d’un jardin public et avec de l’argent public.
Said Mabkhout
Eljadida.com