c’est regrettable, que je ne puisse pas répondre aux souhaits de mes lecteurs a El Jadida et de part le monde. Les raisons sont multiples .Cependant, j essaye dans la mesure du possible de garder le contacte avec mon lectorat fidèle (je m adresse surtout a Nicolas Patrice du Havre qui tenait a lire mes articles. (Nouvelles de jdida). De ce fait, je ne manquerai pas d’écrire un papier quand l’actualité le nécessite. En définitive, je souhaite a tout le monde mes meilleurs vœux de fin d’année.
ABOULKACEM ABOUFARISS
Voici mon premier article sur la ville d’EL JADIDA.
LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE GOUVERNEUR DE LA VILLE d’EL JADIDA
“EL JADIDA SOUFFRE”
El Jadida était considérée comme une ville idéale pour le repos et ses atouts que sont les bains de la mer et de soleil, les sports nautiques et la voile. El Jadida, de nos jours est souffrante et abandonnée a son sort. c’est devenu presque une évidence d’être touché par le mauvais entretien et la mauvaise restauration de la voirie de la ville d’el Jadida. (Routes effondrées, fissurées, délabrées et crevassées) qui restent a chaque moment des chausse trappes qui guettent la circulation des citoyens qu ils soient motorisés ou non. Même le commun des mortels ne peut rester indifférent a cette situation.
Après l’inauguration scandale de la route côtière (la corniche) de Sid Daoui, restaurée a la sauvette et qui n’a pas encore cessé de susciter le mécontentement des jdidis et des visiteurs de la ville, vu (la qualité des travaux) bâclés, mal ajustés, voila que s’ajoute un autre scandale qui est celui du délabrement des routes et des quartiers de la ville après les dernières précipitations. En effet, depuis le commencement des pluies bienfaisantes, l’affaissement des routes est devenu monnaies courantes. Les exemples qui confirment le laisser aller manifeste vis-a-vis de cette situation ne manquent pas. La dégradation de la voie urbaine est presque générale a travers toute la ville.
Dans la plus part de routes, de quartiers et de rues (quartiers Jawhara,, quartier Sfaa ,route Marrakech., limite de la route ibnoui badis, non loin de la polyclinique et route vers sidi bouzid, considérée comme une voie principale de la ville qui la relie au complexe industriel du jorf lasfar et a la cité balnéaire de sidi bouzid, a connu un affaissement juste après la visite royale. de même le rond-point de France de « lharia », dernièrement, le 24/12/2008 vers six heures du matin, cette route a failli ensevelir un semi remorque chargé de grains de blé suite d’un glissement de terrain, heureusement les dégâts n’étaient que matériels. cela confirme l’insouciance et le manque de suivi .
Les habitants jdidis se demandent a quel saint se vouer ! Faut-il incriminer le conseil municipale ? ou bien le ministère de tutelle ? Dans le même registre, les citoyens se demandent sur quels critères la commission chargée d’attribuer de tels marchés se base pour les confier a des agences de construction de routes qui, non seulement ne respectent pas le délai prévu, mais aussi ne font pas un travail garanti suivi d’un entretien régulier !
Franchement la responsabilité est collégiale.
Chacun est appelé de mettre du sien pour rehausser notre ville au niveau d’une cité attrayante foncièrement touristique. Elle est un facteur du dévouement et de patriotisme tant souhaité qui exprime l’engagement déterminé pour œuvrer en faveur de la société.
Le dernier salon du cheval organisé peu longtemps, dieu merci, a El Jadida, devrait être une action très motivante pour prendre soin davantage de cette coquette ville.
Boulkacem aboufariss