La nostalgie est la, en présence avec ses joies et ses peines, avec des hauts et des bas. Gagner sa vie a l’étranger, malgré une intégration complète, malgré d’être doté des caractères communs, connaissances, idées, pensées, travail, et vivre comme mes semblables, pas de problème.
Simplement éviter d’être celui qui sème le vent, car un jour ou l’autre ; il y aura une fin d’une feuille morte.
Ah ! La joie, on peut la vivre tranquillement, mais il a toujours ce grain du sable d’une plage chaude, ce sourire avec tendresse d’une mère.
Et un jour sous l’œil attentif du rais Abdellah (organisateur), avec l’équipe : Moulay Lalaoui, (zellige art), bahjas (thé biscuit, tapis-bois, robe, hanna, aussi hanna rbatia, de nombreuses animations, etc…
Avec le concours de la royal air Maroc, et l’office national marocain du tourisme (M. Maatouk).
Plus le fil conducteur de ce rendez-vous, qui était organisé par le centre commercial coop Léman (F. Gillioz).
La musique, la joie pendant ce temps la, a bas la nostalgie on est au Maroc, emportés par loude et darbouka, le plaisir, la musique avec son rythme sont toujours la, pour nous tous.
Pour cette raison je dis bravo, comme d’habitude avec mon franc parler : oui un grand merci au groupe casablancais a leur tête Ghazali Abdelfattah avec sa voix puissante et douce en même temps, et l’infatigable Guerchi Med (Alaloui) ; pour leur musique, sourire, et danse.
Avec la présence accompagnée de sourire et plaisir, surtout d’une simplicité sans protocole, oui on est honoré de la visite de notre Excellence l’Ambassadeur du Roi a Berne Monsieur Guedira ; sans oublier l’odeur de ma ville natale Mazagan (El-jadida). Monsieur le ministre conseiller Nourddine Belabbes. Oh ! Non je ne suis pas chauvin, mais fier.
Comme toujours les personnes que j admire sont des gens qui ont du caractère, d’où qu ils viennent. Grâce a eux, a été le révélateur de qualités que j avais et que j ignorais.
Je fais ce que j aime et qui me passionne, tout court je suis quelqu un qui essaie de vivre sa passion écrire en paix, j ai toujours vécu dans le livre (lire), et la chanson. Quelque part un monde a moi, c’est la relation directe, et individualisée qui s’opère, ce qui ne tue pas renforce.
Pour moi, quand j entends la chanson marocaine, ou voir quelqu un de mon pays, qui me fait danser, chanter, me rendre le sourire et qui me fait oublier c’est quoi la nostalgie, je me relève, je regarde droit devant, et je n’ai plus envie de dire, que c’est la fin du monde.
Bon baiser de Lausanne
Ba – Ayouch