Krimou Chergi, ancien aillier gauche du DHJ

Le DHJ figure dans le palmarès du football du Maroc. Il était parmi les meilleures équipes qui ont honoré le sport. Ce club commence a retrouver le chemin du prestige. Il occupe actuellement une bonne place au championnat GNFI.
Voulant remémorer un peu ce passé glorieux du club Jdidi, le journal Al bayane avait invité l’un de ses brillants ailiers gauche des années 70/80 Krimou Chergui qui était très ravis et même très pressé de répondre a notre journal.

Journal Al bayane : Parlez-nous un peu de votre parcours avec le DHJ?
Voila, j ai commencé d’abord mon apprentissage du football avec les jeunes du quartier. . Aux fils des années, mon frère, feu Lyazid Chergui, avait remarqué que ma place pourrait être permis les grands.
Il m avait donné beaucoup de conseils pour que j évolue dans le domaine footballistique.
Aux début des années 70, grâce a mon sérieux et mon dévouement, j ai pu assurer ma place permanente comme. ailier gauche au sein du DHJ avec qui, J ai joué de 1967 a1981 .

Tout le monde sait que feu Chergui Lyazid, votre frère, a tout bradé : sa santé, ses moyens et son tepmps pour le sotient de ce club doukkali qui a brillé de millre feux durant les années de samam, Chiadmi, Spania, Chicha, maaroufi ; Asfari, et vous-même.
Feu Lyazid, était un dirigeant rodé comme l’appelait souvent notre ami Belaid. De nos jours, trouve-t on encore des dirigeants pareils ?
La réponse que je vais vous fournir serait négative. Feu Lyazid était une des mécènes qui s’adonnait corps et âme a son équipe. Et, s’il y a quelqu un qui l’a bien connu, c’est notre ami Belaid Bouimid, que je félicite au passage pour son élection a la tête de l’ AAPS . Je lui souhaite plein succès.

En tant que fervent sportif jdidi, avez-vous des conseils ou des reproches a formuler a l’égard du DHJ ?
Pour commencer, je dois féliciter l’équipe DHJ pour tout le travail qu il a fourni, et pour tous les efforts qu il a conjugué afin de redonner a l’équipe son prestige d’antan.Je suis certain que ce jeune club va gagner sa place permis l’élite cette année. Pour assurer leur ascension , il leur faut trois points. Je suis sur qu ils peuvent en avoir le maximum grâce leur volonté inébranlable et leur persévérance. .
Maintenant, ce que je reproche, c’est que nous avons des jeunes, mais malheureusement, ils sont mal encadrés, Pour ne pas jeter la pierre aux dirigeants, actuels, du DHJ, ou aux encadreurs, je remarque en général, que dans tout le Maroc, les jeunes sont traités comme le derniers maillon de la chaîne.
Certains formateurs, malgré leur bonne volonté, manquent a leur tour de formation. Je m excuse de le dire, mais c’est la triste réalité. Les jeunes doivent être bien formé et bien suivis. Ce sont eux, notre future pépinière qui est censée prendre la relève.

Maintenant, j ai eu ma retraite anticipée, je n’ai plus de poste de responsabilité, je vais travailler a tête reposée. Pour me prépare a effectuer un voyage a Hambourg pour un stage d’entraîneur ;

Votre dernier mot.
Je remercie votre journal Al bayane qui ne ménage aucun effort pour assouvir ses lecteurs.

ABOULKACEM ABOUFARISS

Auteur/autrice