Vivre une fois, mais avec espoir, Ah ! l’espoir ?
Mais quel espoir : attendre avec confiance, ou il est tout mon espoir? Ou bien s»r de dire une fois pour toute, je n’ai plus d’espoir.
Le printemps de l’an 2006, bat son plein, la nature se réveille, la saison idéale pour sortir de votre silence, et mettre sur papier et que votre main suit votre cœur, car ce n’est plus l’homme qui dicte, c’est son espoir, son inspiration, l’expérience de sa vie et a vrai dire la ou la vie vous a ouvert les yeux, hélas ! Plusieurs années après.
Oui mais dire la vérité, ce qu on a dans le cœur même en silence, c’est une alchimie tellement mystérieuse que l’on peut toujours imaginer, mais pas le cœur.
J ai l’air de faire de la morale. Mais non ! Je parle d’hygiène et d’hygiène mentale, surtout que l’homme de ce temps a besoin de se trouver.
Pour cela il importe de savoir, qu il ne suffit pas de vivre ceci ou cela ; mais que la vie avec son espoir est la, dans le corps avec les pas, les yeux, tous les gestes de la vie.
Oui la vie avec ses échecs, et ses réussites, joie et peine, fidélité et trahison, vérité et mensonge, votre vie existe avant, aujourd hui et demain car c’est le reflet avant tout d’une émotion très forte, et une émotion ça ne se cultive pas, ça ne s’apprend pas, ça ne s’attend pas ; elle arrive donc on peut essayer de tricher en essayant de la cacher, hélas !…
Une belle vie c’est l’émotion, l’émotion et l’émotion. Celle qui nous fait écrire, celle que j ai écris, et celle qu elle suscite : l’espoir.
Tout le monde sait écrire avec son cœur, son moral c’est au-dessus de nos moyens, même parfois on ne sait comment décrire une vie, non plus ce n’est pas un art, mais certain c’est une émotion… de la vie, et de l’espoir.
Papa, Maman, je ne veux plus aller a l’école ! s’exclame un petit garçon en rentrant a la maison.
– Ah ! Bon… Et pourquoi ça ? demande le père, étonné.
– Parce que le maître est nul, il ne sait jamais rien… La preuve, c’est toujours nous qui devons répondre a ses questions ! ( F. T sélection )
c’est l’histoire d’un jeune jdidi, cette petite ville de l’époque, dans un quartier populaire, la ou l’honneur avec l’amitié et la confiance du quotidien riment… c’est la rue d’Omar Ibn Khatib, pas besoin que je vous le présente, c’est dans l’histoire de l’indépendance du Maroc.
Et c’est dans cette rue, ou ce jeune jdidi a grandi, que son père le feu berbère et ancien combattant, est mort, une mort naturelle dans la paix et le respect, son fils se souvient toujours et très bien de lui.
Son père était un homme de paix, il ne se dispersait pas et n’était pas expansif : en silence il lui manque beaucoup.
Ce jeune jdidi, a grandi, il n’a rien oublié, ni son passé, son origine, son éducation, il n’a jamais essayé de plaire a quiconque, même a la personne qu il adore tant : sa mère.
Il n’écoute que son cœur, ses émotions négatives, ou positives, son amour a ses proches, et sans perdre espoir ** rien ne l’a empêcher d’avancer dans sa vie ; vivre ou survivre ** et il a choisit de vivre, car c’est ça volonté.
Courageux, joyeux, il doit être plus fort que ça, c’est son slogan, il s’interdit d’être faible, car il n’a ni frère, ni personne sur qui il peut compter, heureusement a cause et grâce a ces derniers, qu il a réconcilié en lui force et faiblesse.
Sa force représente son capacité a aller de l’avant, en se réconciliant avec sa faiblesse, oui il se reliait a la douceur a la tendresse, a la générosité, que son feu père et son adorable mère lui l’ont légués, sans jamais oublier même aujourd hui son intuition de baroudeur, et a l’émotion de son éducation ; l’espoir quoi ?
Toujours dire devant un thé bien chaud; je suis la avec des journées parfois plus difficiles, malgré tout faut trouvé mon destin avec volonté, qui sont une incitation a aller de l’avant, pour faire avancer vos choses, car vous n’étiez pas la pour dormir.
Une fois que les jeunes auront pris conscience de certaines choses, ça sera ma plus grande réussite.
Ba.ayouch