Sans intellect, les humains n’auraient plus ni chaleur, ni esprit.
Sans eau, les arbres n’auraient plus ni fleurs, ni fruits.
Le jour deviendrait, pour tous, une éternelle nuit.
Alors, tout sombrerait dans l’oubli et l’ennui.
Le verrouillage des portes laisserait planer la folie
Et réduirait tout ce qui bouge au silence infini.
De ce fait, la mise en œuvre de toute stratégie
N aurait plus droit a la citation dans les écrits
En ayant la chance d’en disposer avec harmonie,
Sous couvert des lois et droits assurant sa garantie,
La lumière de la liberté vaudrait des milliards de bougies.
Sans elle, je ne pourrais exprimer ce modeste récit.
A cette extériorisation naturelle sans calomnie,
J attacherai une attention jours et nuits
Pour qu elle se perpétue, de façon inouïe,
Comme la source au fond du puits.
Quant aux animaux, poissons, plantes et fourmis,
Le vent de liberté donnerait la force d’âme a leur vie.
Même les cimes d’arbres flétris et rabougris
Offriraient aux oiseaux et l’abri et le nid.
Ainsi, tout pourrait s’activer sans parti pris
Comme l’immatériel sans le moindre prix.
Les probiotiques, par le biais de bactéries,
Couperaient la voie aux pathogènes introduits.
Moussa Ettalibi, Dr Sci., Rabat le 14-08-2014
Moussa Ettalibi, Dr Sci.
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