Cher
J ai envie d’avouer
Ai – je eu ce droit de parler
L’envie me fait souffrir
Honneur a moi chère et cher
De vous trier ces vers,
Vous mes chers !
Exprimer pour moi est un droit,
Ma seule mission que je vois.
Joie immense, je trouve, entre l’encrier et la plume
Pleine de choses je découvre entre le marteau et l’enclume
De notre défaite de faux de savoir
Faits déconseillés pour la vue
Et qui déplaisent les yeux
D une vie qui survit et qui défit
Effets d’une chienne de vie !.
Pour vous déclarer ma vérité
Vous spécialistes a la lisibilité :
« Dire et faire dans une descente aux enfers, n’est-il pas un délire ? »
Comment ?
Et..
Pourquoi ???.
Quand a votre silence, je vois ma souffrance,
Est devenue une maladie sans convalescence.
Ce qui explique ma profonde douleur.
J étais victime et je le suis encore.
Aurai – je le droit de sentir votre Soutien ce jour ?
Le bonheur est cher après le malheur
Droit qui touche le cœur
De l’Homme que la plume lui a enseigné
Parler et écrire pour défendre ses intérêts.
Parce que le bon Dieu nous n’a mis tous de terre a terre
Que pour s’entraider pas pour se haïre.
Moi qui vous écris de bonne foi
Je suis proie d’une mauvaise loi
Suis victime du blabla d’un crime qui n’existe même pas
Prêt a rendre l’Etre sérieux, prisonnier ou fou.
Maintenant, si vous lisez mes premiers mots
Dorénavant vous allez trouver une lettre en acrostiche de mes maux
El Bachir Boukhairat